La cuisine ne va pas de pair avec Fynlie (PV Sean)

Il était dix-neuf heures trente. Le fait de ne pas avoir encore mangé à une tel heure était une outrage aux conseils de son médeçin, mais elle s’en foutais. Assis devant une tisane à la camomille, regardant les images magiques du journal défilé devant elle, Fynlie rêvassait tranquillement. Si on peux dire une telle chose. En faite, elle pensait surtout à la décision un peu radicale qu’elle avait pris. Celle de quitter cet appartement pour vivre ailleurs. C’était une idée stupide, et elle ne le ferait. Elle avait tant de fois vécu la perte d’un être cher qui lui tenait vraiment à cœur, qu’elle ne pouvait se permettre de faire la même chose, et ce volontairement. L’amitié était une chose précieuse qui se conservait au rythme du temps et la confiance était bien souvent une chose difficile à donner et à conserver, en ce qui la concernait. Sean était un des rares qui avaient rapidement conquis son cœur, et elle vouait en cet être une assurance absolu. C’était sans doute la seule personne depuis Poudlard avec qui elle avait eu une véritable complicité, et elle savait par connaissance qu’une telle chose était très dur à obtenir et à préserver. Et ce serait malheureux de tout jeter pour la simple raison que celui-ci éprouvait peut-être des sentiments pour elle. De toute façon, il connaissait son opinion sur le sujet. Alors d’un point de vue technique, elle ne risquait rien , car elle savait qu’il la respecterait sans doute toujours. Du moins, elle l’espérait.

Celui-ci n’était d’ailleurs pas rentré, et Fynlie commençait à se demander où il était passé. Elle était habitué au retour tardif de son ami, mais elle s’inquiétait tout de même à chaque fois, vu le métier qu’ils exerçaient. Tentant de faire disparaître ce mauvais stress, elle décida qu’il était temps de préparer le repas. Elle n’était pas une très bonne cuisinière, mais elle se débrouillait comme elle le pouvait. Avec ces mains, bien entendus. Car malgré son incapacité à être doué, elle répugnait à l’idée d’utilisé ces pouvoirs pour faire une chose aussi simple que celle d’apprêter des aliments. Se levant de la chaise au motif de losange dans lequel elle s’était lovés confortablement, elle se dirigea vers le frigo et l’ouvrit. Les deux colocs avaient été aux « marché » il y a de cela quelques jours, et il regorgeait d’aliment divers , normal comme sorcier. Sur les petits tablettes blanches, les fioles de couleur rouge et orangés se mélangeait avec les racines de mandragore et autres matériaux nécessaire aux potions tandis que sur les étagères blanches, trônaient en roi poulet, légume, pâte, œuf , lait et tout le tralala. La jeune fille piocha au hasard, avec un désintérêt marqué, et en sortit de la viande blanche , des céleris et…un flacon argenté , traitement ordonné par ce spécialiste à la noix de St-Mangouste. Une heure plus tard, un gratin santé répandait ces délicieux fumets dans la pièce. Si cet odeur l’attira en premier lieux, ce ne fût bientôt plus le cas lorsque Fynlie eu un haut le cœur et se précipita dans la salle de bain.( Je vous passe des détails.) Une telle chose lui arrivait souvent, malheureusement. Regardant ce qu’elle avait préparé avec dégoût, elle saisi un bâtonnets de carotte qui tronait par là, et croqua dedans à pleine dent. Ce n’était pas suffisant, elle le savait, mais pour le moment, son ventre refusait d’en prendre plus. Il faut dire qu’il était déjà amplement occupé!

Hésitante, elle décida que sa journée avait été pleinement occupé et qu’il temps de prendre le repos tant mérité, suite d’un travail assidue. Jetant un sort servant à conserver la chaleur de la nourriture sur le plat, Fynlie alla ensuite dans sa chambre, mélange de ces pensées refoulés et d’une partie de son passé. Elle revêtu un T-Shirt raillé blanc et noir, et un bas de la même couleur en cachemire, ainsi que des pantoufles violettes. Son ventre balloté était toutefois parfaitement visible, mais elle l’aborait fièrement. Elle dénoua également sa chevelure, qui retombèrent en bouclette éparse sur ces épaules. Bah voilà, la tenue de nuit parfaite. Et surtout, adéquate. Elle n’avait jamais été du genre provocatrice, et malgré le fait qu’elle habitait avec un garçon, elle n’avait rien changé à son apparence. Après tout, c’était son meilleur ami, elle n’allait pas commençait à jouer à l’exhibitionniste! Ni avec lui, ni avec personne d’autre. Point la ligne. Elle ferma ensuite soigneusement la porte de son antre secret, et alla prendre place sur un fauteuil moelleux, récupéré exprès pour elle. Ces cousinets étaient rembourrés et d’une teinture bêche, qui évitait de lui procurer des étourdissements et autres trucs du genre. Le rêve. Dans sa condition, du moins. Pointant sa baguette vers l’antre de la cheminé, elle prononça une formulle à voix basse, allumant du même coût des braises rougeayantes d’une teinte rouge vif qui suffirent à la réchauffer. Il était encore tôt, et malgré sa fatigue, elle jugeait préférable d’attendre son ami, histoire de discuter un peu. Ils n’avaient, après tout, que peu de temps pour bavarder, vu leur emplois du temps charger. Alors, lorsqu’elle entendit la porte d’entré claquer, sûr de la présence de son bienveillant copain, elle dit , sans toutefois se retourner :

- J'ai préparé le dîner...mais les assurances ne couvrent pas les intoxications...

Elle sourit intérieurement à cette seule phrase, car tout deux savaient que les capacités culinaires de Fynlie était moindre. Mais bon, avec un peu de chance, elle aurait bien réussi le plat, pour une fois.

Il était rendu tard et je me rendit à la maison pour prendre un bon souper quand j'ai penser que Fynlie ne savais pas vraiment cuisiné et qu'elle serait surement couchée lorsque j'arriverais. Donc, je me rendis au super-marché pour m'acheter une pizza 12" à la boulangerie.

Lorsque que je suis arrivé à l'appartement, une odeur à la fois douce et épicée me monta immédiatement aux narines. J'ai rentré discrètement, mais j'ai oublier de fermé la porte derrière moi et elle résonna dans toute la maison. Je me suis dit que j'ai dû réveiller Fynlie et que je devrais aller la voir pour m'excuser du dérangement, sauf s'elle dormait encore.

Je n'ai même pas eu le temps de cogner à sa porte de chambre qu'elle me dit :

-« J'ai préparé le dîner...mais les assurances ne couvrent pas les intoxications...

Un sourire s'afficha sur mon visage. J'ai eu comme un présentiment qu'elle souriait aussi, car je ne la voyais pas; elle était assise dans sa chaise qu'elle aimait tellement. J'ai prononcé ces mots qui m'ont fait un pincement au coeur :

-« Euh... Désolé mais j'ai été m'acheter une pizza car je ne croyais pas que tu allais faire à manger ...! Mais je peux toujours la garder et puis la manger pour demain comme cela ton souper ne se gâtera pas ? Ça te va ?

Elle eut un sourire en coin et ne répondis pas immédiatement.

Fynlie eu un sourire en coin. Son ami avait toujours été une personne avec un grand cœur, qui pensait toujours aux autres avant lui-même. À savoir dans ce cas-ci, le repas. Car en ce qui la concernait, elle savait déjà que la pizza serait bien meilleur que ce qu’elle avait préparé. Mais bon…elle n’allait pas commencer à raisonner sur une chose aussi futile que de la nourriture tout de même! Car ce n’était qu’un détail parmi tant d’autre…et son estomac se refusait à la moindre réflexion concernant les aliments. En faite, seule l’idée d’un petit-déjeuner la rendait malade…alors…Disons qu’en comparaison, ce mélange détonnant de pâte et de graisse que lui ramenait son copain , lui semblait bien insipide, et fade. Une chose cependant, renforça sa bonne humeur. Sean s’adressait à la porte de sa chambre, alors qu’elle était dans le salon. Il y avait donc deux possibilités : La première étant qu’il aurait ingéré une trop grande quantité de skittles ( c’est bon, je me tais!) ou bien il pensait qu’elle dormait. La deuxième option était sans doute plus probable, mais il devait pourtant savoir que la jeune fille était plutôt insomniaque ces derniers jours, malgré sa fatigue inopportune. Elle n’était tout de même pas si vieille fille!

En silence, ignorant une douleur sourde dans le creux de son système digestif , l’auror se leva, quittant du même coup le confort d’on elle disposait. Se remettant cependant rapidement sur pieds, elle tenta de s’approcher le plus silencieusement possible de son ami. Loin d’elle l’idée de lui faire peur, au contraire , c’était bien là son dernier désir. Mais c’était si tentant de rigoler un peu…Et puis Sean était habituer à ce genre de taquinerie. Car cette complicité présente entre eux ne s’était pas envolé avec le temps, fort heureusement. Elle trouvait dommage que parfois, les amis se laissent tomber et oublie cette époque où ils étaient heureux et vivaient en confiance. Mais ce n’était pas le cas avec son colocataire. Et pour cette raison, elle était comblé. D’ailleurs, elle avait toute les raisons de l’être : Elle attendait bientôt un bébé, certes , d’une homme qu’elle détestait mais c’était un détail, elle habitait en appartement avec son meilleur ami, le seul qui lui avait fait preuve de solidarité jusqu’au bout et peu importe la situation, qui ne l’avait pas abandonné, elle était devenu auror, malgré toute les difficultés qu’elle avait dût traversés, elle connaissait désormais tout les mystères de sa famille et, chose importante : Elle prenait enfin sa vie en main. Oui, tout était parfait. Voyant le dos de son ami à l’horizon, un sourire coquin peint sur son visage au trait quasi angélique, Fynlie dit d’une voix amusé :

- Hum…Je suis derrière toi Sean…

Bon d’accord, ce n’était pas une réplique très drôle, ni très « puncheuse » mais c’était une phrase typique dans une situation typi que…ou pas. Humant l’air avec dégoût, elle finit par lâcher :

- Sinon, mange ta pizza. Je t’accompagnerai avec une bonne tisane….

Hum…plus elle retournait ces paroles dans sa tête plus il lui semblait qu’elle paraissait vieux jeu. Bah voyons! C’était simplement parce qu’il était tard, qu’elle était en pyjama, et qu’elle ne réfléchissait pas trop( et moi non plus xd). Enfin…Sans attendre, l’adulte prit la pizza des mains de Sean, luttant contre sa nature humaine pour ne pas flancher devant cette odeur irrespirable, et la déposa sur le comptoir. Puis, elle se fît apparaître une délicieuse infusion au miel, qu’elle posa devant elle, avant de s’asseoir face à la nourriture peu…appétissante. Sans problème : elle la laissait à son ami

.

Hj : TIENSS ! ENFIN ton foutu RP ! Razz

Mais désolé si j'ai été long :S Je vais faire plus attention à l'avenir Wink

!

Je n'eus même pas le temps de me dévêtir qu'elle me tira la pizza des mains, et elle s'étais déjà assis à la table avec sa fameuse tisane aux odeur miellé et sucré.Je me dévêti, pris une assiette, et je me suis assis en face d'elle, avec une pointe de pizza dégoulinante de sauce fumante. Mais je la touvait étrange; elle ne m'avais même pas poser de questions comme où j'avait passé la journée, comment elle s'était passé et toute ces questions impertinentes mais qui me fesait sourire quand elle me les posait.
Alors, je me suis dit qu'elle était peut-être seulement fatiguer de sa journée et qu'elle ne voulais guerre discuter. Je m'enpresser de manger ma pizza. Je me suis donc levé, déposé la vaiselle souillé dans le lévier et prononcé ceci :

-" Humm... Je vais te laisser tranquille, car je crois que tu es pas mal fatigué alors...je vais juste prendre une douche et je vais aller me reposer pour demain aussi car j'ai des course à faire pour le frigo; il est pas mal vide comme tu as remarqué ! Alors... bonne nuit ! "

"La petite d’abord "

Tapis dans l’obscurité, tel un fauve prêt à sauter sur sa proie, un homme recouvert d’une capuche noir guettait avec attention les réactions de la jeune femme en face de lui. Gracieuse, ces cheveux bouclés ondulant derrière son dos, l’adulte avait déjà été dans un meilleur état. Ces traits étaient tirés et deux énormes cernes s’étiraient sous ces yeux, striés par une épaisse marque rouge. Sur sa joue, une balafre d’à peu près 2 centimètres achevait le portrait négligeable de la mère de Fynlie Walf. Il ne faut pas se méprendre : Elle ne tentait pas de protéger son enfant, mais sa vie. Or, son existence était liée à celle de cette gamine. Car c’était la seule chose à lequel son mari tenait. Et si elle lui donnait… Disons simplement que deux êtres s’éteindraient le même soir. Et elle ne souhaitait pas une telle chose. C’était donc pour cette raison qu’elle tenait fermement un poupon dans ces bras, confortablement emmitouflé dans une tonne de couverture, et sa baguette dans sa main libre.

Assis dans un coin de la pièce, regardant avec attention celle qui avait été son épouse pendant trois longues années, l’homme s’amusait à balancer sa propre baguette dans les airs. Le veine qui palpitait dans le cou de la femme ne trompait pas : elle allait bientôt craquer. La pression était palpable et il savait déjà qu’elle avait peur. C’était visible dans ces yeux, terrifiés et pétrifiés. Elle savait ce qui l’attendait. Et il n’était pas prêt de la démentir. Il avait pourtant adoré, aimé et chérie cette personne effarouchée qui se tenait devant lui. Mais cette époque était révolue. Qu’il perde ainsi la raison aurait pu paraître scandalisant et on aurait sans doute parler d’un drame familial – encore un- si tout n’aurait pas été écrit à l’avance. En effet, en épousant un mangemort, la femme devait savoir à quoi s’attendre. Ils ne pouvaient se permettre d’avoir un bambin, c’était contre les indications. Mais l’idiote n’en avait fait qu’à sa tête…encore une fois. Pointant un doigt blafard en sa direction, il dit avec un sourire ironique :

" Ce petit jeu a assez duré, Lys. Domme-moi immédiatement l’enfant. "
"Vient le chercher " murmura l’insolente d’un ton presque inaudible.
"Si tu insiste… "

L’homme qui jusque là n’avait pas bougé, se leva enfin. Se faisant, il fît tomber son capuchon dévoilant par la même occasion un visage d’ange. Et des yeux noirs. Noir comme la nuit. La dénommé Lys eu un imperceptible mouvement de recul, mais le temps que le mari s’en aperçoive, il était trop tard. Elle avait déjà transplané.
Le mangemort poussa un cri de colère, qui résonna dans la nuit sombre.

La peau humide et les mains moites, Fynlie se réveilla en sursaut. Ce cauchemar, elle le faisait depuis son départ de Myrtgal. Elle s'y accoutumait tant bien que mal, sans chercher néamoins à en savoir plus sur ce qu'elle pensait être la vérité. Elle jeta un rapide coup d'oeil autour d'elle car voyant que Sean dégustait sa pizza, elle était allé se placer sans la fauteuil du salon. Et s'était endormis. Génial. Alors qu'elle avait roupillé pendant ce qui lui semblait quinze minute, son ami avait dîner en solitaire, pensant sans doute qu'elle manquait de conversation ce soir. Alors qu'elle se levait pour aller à sa rencontre, celui-ci prit la parole et elle ébaucha un sourire. S'approchant de lui, elle posa une main sur son épaule et dit:

-Ne t'inquète pas pour moi. Je préfère encore discuter avec un copain...

[Aucun détail de la douche sinon je ferais plaisir à quelque uns x)]
Lorsque je sortis, je croyais que Fynlie avait été se coucher car avant d'aller sous l'eau, je l'avais remarqué en train de dormir sur son fauteuil. Alors, je sortis seulement avec une serviette pour me cacher, mais elle était là, me regardant avec sa tisane dans les mains! J'eus un recul, mais je me suis précipité dans ma chambre pour enfiler quelque chose de plus " présentable". Vous imaginez?! On a pas encore eu de discutions sérieuse tout les deux depuis que nous sommes emménagés, et elle est sur le point de me voir nu! ... Lorsque je suis revenu, elle était de rentour dans sa chaise. Alors, je lui redis pour une seconde fois:

-" Encore une fois, je te souhaite une bonne nuit et ne te couche pas trop tard là ! Tu sais que tu dois être en forme pour LA chose demain ! Et ne me dit pas que tu as oublier cette évènement car je vais t'étriper ! hey hey... Alors, à demain !"

Je me rendis dans ma chambre mais elle chuchota quelque chose qui attira mon attention... Je me suis retourner mais elle était déjà dos à moi. Mais avec l'ombre de la lampe, j'ai remarqué que Fynlie avait une bedaine... oui... vous savez celle qu'on les nouvelles femmes enceintes...

"Ça n'a aucun bon sens! Elle n'a aucun amoureux! ELle a seulement pris quelque livre en trop c'est tout!" je me suis répété plusieurs fois dans la tête avant d'être paranoïaque...

Mais cela restait encore un doute... peut-être que dans son passé elle a connu un homme... et qu'elle l'aurait revu ces temps-ci...
Peut-importe ! Cela était SA vie privée et je ne voulais surtout pas la brusquer ce soir... Je me suis allongé dans ma chambre au décor minimaliste. Mais je n'y ai plus pensé car je devais me reposer pour demain; la journée de sa fête! J'espère qu'elle n'a pas oublier!

Ah…Sean. Il était bien étrange à sa façon. Les paroles qu’elle avait prononcé ne semblaient pas avoir une quelconque importance sur lui. C’était bien son genre. Tellement concentré dans ces réflexions, qu’il en oubliait d’écouter les autres. Mais n’était-ce pas ce que tout le monde faisait ? Ne pas prendre le temps de vivre? Tellement occupé à s’activer autour de leur personne, et leur travail qui est pour eux le centre du monde, qu’il oublie ce que signifie le mot ami ou bien tout simplement discussion. Oh! Il discute, certes, mais avec eux-mêmes! Les mots paraissent vide dans leur bouche et lorsqu’un autre interlocuteur dit quelque chose, les phrases traversent l’oreille de l’égocentrique sans y trouver le moindre sens à ces yeux, ni valeur. Mais bon… son ami n’était pas ainsi, et elle savait que derrière ce manque d’écoute se cachait quelque chose de plus sérieux. Des réflexions profondes? Peut-être !
Après avoir tombé sur celui-ci à moitié-nu, Fynlie laissa échapper un léger rire avant de retourner s’asseoir dans son fauteuil. Ce qu’il ne savait pas, c’est que ce n’était pas la première fois qu’elle le voyait ainsi. Elle ne l’épiait pas, mais disons qu’il arrivait parfois au jeune homme de se promener dans l’appartement avec une seule serviette, pensant qu’elle était endormie, alors qu’elle avait simplement les yeux à demi-clos. Fin bref…pas la peine d’en faire un drame. Et puis, elle avait déjà vu bien pire qu’un torse, nah?

Fermant les yeux, elle tenta de se rappeler l’événement d’on parlait son copain. Mais de quoi pouvait-il donc parler ? Une réunion d’auror? Impossible…elle aurait été prévenue et sa mémoire ne lui aurait pas autant fait défaut. La fête de leur rencontre? Bah…même ça, elle avait oublié la date! Noël ? Peut-être….Ah non! C’était dans 2 semaines…Elle réfléchit ainsi pendant une dizaine de minute avant de se souvenir d’un événement qui lui semblait banal. Son anniversaire. Il aisé pour elle d’oublier cette date, car elle n’avait jamais considéré sa naissance comme quelque chose d’important. Ce n’était pas négatif mais voilà…elle était ce qu’elle était.
Mais bon…qu’est-ce qu’elle ne ferait pas pour faire plaisir à Sean?
Se levant se son fauteuil, elle se dirigea tranquillement vers la chambre de celui-ci et sans toquer à la porte, entra et s’assit sur son lit en le regardant d’un air taquin.

-Tu sais que tu es très mignon en pyjama ?

Puis elle rajouta, avec un léger sourire :

-Écoute….pour demain…on ne pourrais pas simplement fêter ça au restaurant, juste toi et moi? Ça doit faire une éternité que nous n’avons pas eu une vrai conversation….

Je ne me suis posé aucune question; Elle avait complètement deviné mon Plan ! Mais c'est mieux comme cela que d'avoir planifier une fête surprise qu'elle n'y serait présente...
Bref, j'ai laissé déçidé le choix du restaurant et l'heure [ 18h30 ] à Fynlie mais elle ne me donna aucun endroit particulier alors.. j'ai pris un petit restaurant sympatique qui ne coûtait pas trop cher. Ensuite, ma bouche s'est mise parlé de son plein gré sans que je puisse l'en empêcher, je savais que j'allais dire quelque chose que j'allais regretter tôt ou tard...;

-" Fynlie...j'aurais quelque chose à te demander...C'est un peu embarrassant...mais...comment peut-on oublier de fêter sa fête? comment tu peux fêter le jour de ta naissance sans ta famille, tes frères et soeurs?..."

Je regrettait déjà ces mots prononcés... Je vit immédiatement le visage souriant de Fynlie se transformé en une bouille imcompréensible sans mot; elle ne s'attendait vraiment pas à une tel question je crois...

-"Désolé! Je ne voulait pas te faire de la peine ou quoi que ce soit!...Je ne voulais pas dire cela mas obuche s'est mise à parlé toute seule sans que je puisse l'en empêcher...! Ne réponds pas! Tu n'as aucune obligation...! Déolé Fynlie Je ne voulais vraiment pas ...euh...Excuse-moi!..."

[...]

Les excuses s'empillèrent les unes par dessus les autres...Je me suis retourner pour être de dos à Fynlie quelque secondes...Un moment de silence incomforatable venait de se produire et Dieu sait comment je déteste cela...Je me retourna... Elle avait la bouche semi-ouverte...sans mot...
"Bravo Sean! Tu as bien afit ton coup! Maintenant tu n'as aucune chance avec elle et elle ne voudras plus venir avec toi au restaurant demain! Bravo !"
Ces mots emplissait ma tête...Mais je me suis retourné la tête lorsque Fynlie prit la parole, la voix tremblante.

Rapidement, l’heure et la date fussent décidé ainsi que le lieu de ces fameuses réjouissances. Elle avait déjà visité ce restaurant, et elle savait que prix et les repas eux-mêmes étaient assez bon-marché… Mais bon, on fait avec les moyens qu’on a , non ? Et puis le métier d’auror était de plus en plus pratiqué aujourd’hui, alors que le mage mort n’était plus de ce monde. Ce qui faisait que question argent, ce n’était pas le mieux payé. Alors ceux qui travaillaient pour la magie blanche le faisaient par véritable passion. C’était heureusement son cas. Et celui de Sean. Par contre en ce qui la concernait, son compte en banque était très rempli. Pour deux raisons. La première : son défunt époux était assez riche et étant la seule personne d’un point de vue légale qui lui restait, elle avait hérité de toutes ces économies, ce qui se révélait être beaucoup. De plus, elle avait l’argent que lui avait légué sa vraie mère avant de mourir ainsi que ces parents adoptifs. Pourquoi ne pas avoir dit tout cela à Sean, alors? Oh…il le savait. Mais même en habitant ensemble, il préférait couvrir lui-même ces dépenses sans avoir recours à l’aide des autres. C’était un comportement typiquement masculin…Alors ce n’était pas très surprenant.

Un autre sujet fût ensuite abordé et la jeune fille eu une grimace. Pourquoi avait-il posé cette question? Certes, elle savait que certains de ces comportements et réactions étaient étranges, mais cela faisait partie de son passé. De-même pour son anniversaire, qui était un événement qu’elle n’avait jamais prit la peine de fêter, trop étouffer dans sa solitude et de ces problèmes de l’époque. Sean lui avait appris à extirper de son esprit toute cette trace douloureuse qu’avaient laissé sur elle ces difficultés qu’elle avait traversés. Dans ces temps-là, elle avait peu de personne sur qui compter. Oh, elle avait bien Nick, mais que dire à une personne qui ne fait que partager vos peine et douleur, comment expliquer en mot ce que seul le cœur s’acharne à faire taire? Non…certaine chose ne pouvait être dite. Or, son copain ici présent avait réussi à faire parler non seulement sa bouche, mais aussi ce qui était resté refoulé. Elle pensait qu’il le comprenait…avait-elle eu tort? Car si ça aurait été vraiment le cas, jamais il n’aurait demandé cela. Et pourtant….Hésitante, elle se mordit la lèvre inférieure en essayant de réfléchir plus convenablement. C’était une réaction purement infantile qu’elle venait d’avoir…un délicieux flash-back d’aptitude qu’elle devait à tout prix évité…Ce fût donc d’une voix douce et détendue qu’elle répondit :

- Je ne sais pas….l’habitude de rester seule à ma fête a banalisé cet événement, je suppose. Quant à ma famille…je pense t’avoir déjà dit ce qu’il leur était arrivé et je ne désire pas en reparler.

Puis, histoire de décontracter l’atmosphère et retrouver cet intimité et complicité avec son copain, elle dit :

- J’ai vu que tu te promenais souvent…une fille en vue peut-être?

À peine avait-elle prononcé cette phrase qu’elle senti ces joues s’empourprée. Elle n’était pas sûr de vouloir connaître la réponse. Oh, il ne faut pas se méprendre, en 5 ans, elle n’était jamais tombé amoureuse de son copain. Mais elle se demandait ce qu’il se produirait si Sean sortait avec quelqu’un. Devrait-elle quitter l’appartement ? Leur amitié serait-elle rompues ?

hj: C'est l'heure de ton défi, mon Carl!

HJ: Ouais.. et bien regarde bien si j'ai bien réussit!
L’air un peu découragé, j’ai essayer de répondre à sa question le plus clairement possible ;

-« Nah…Pour le moment une seule fille pourrait me faire craquer mais je crois que celle-ci est trop occupée pour s’en rendre compte… Je crois que ça ne marchera pas vraiment entre nous 2…. Mais de toute façon, si je pars souvent c’est que je veux découvrir la ville et j’ai besoin de me remettre en forme. »

J’ai baissé les yeux…Je regrettais presque ce que je venais de dire…(elle va s’en douter) me répétais-je…Je n’avais plus aucune chance avec elle…Pour moi, mon heure était venue et je voulais me dormir pour ne plus me réveiller. Comment je pourrais vivre sans Fynlie!? Impossible… Sans elle, je suis comme France sans sa tour Eiffel, une tartine de beurre de cacahuète sans sa couche de confiture aux fraises! … Cauchemar…

Je n’en revenais pas encore… Puis, je l’ai regardé dans les yeux ; je n’avais jamais observé ses yeux d’aussi proches… Ces deux petites boules noires aux reflets bleutés me faisaient craquer… C’était comme un morceau de charbon trempé dans l’aquarelle bleu cyan…Magnifique…

J’ai ensuite regardé son nez à la fois droit et sensuel. Je ne savais aucunement pourquoi il me donnait des frissons mais je pouvais seulement dire qu’il était vraiment beau…

Sa bouche…oh… si pulpeuse qu’on aurait dit que si elle se fend les lèvres, du silicone allait s’échapper. Mais elles étaient naturelles. Elle ne portait aucun rouges à lèvres ou de Gloss comme toutes les femmes portent ; elle était au naturel, et c’est cela qui m’attirait chez elle…

Sur l’effet de la passion, je me suis approché d’elle, tout doucement, comme s’il ne fallait pas faire aucun bruit pour que personne ne nous regarde, je l’ai serré entre mes bras pour lui montrer mon affection amicale. Puis, sans qu’elle s’en aperçoive, je lui dépose un baiser sur la bouche, un baiser langoureux et passionné de ma part.
Je ne sais ce qu’elle pense de cela, mais si elle ne veux plus me revoir après, moi je m’en fou; au moins j’aurai eu un baiser de ma bien-aimée après lequel j’attendais depuis si longtemps.

HJ : Bon...je viens de finir de rire là, dear Carl ! My god, j'aurais jamais dût te donner ce défi, on dirait que tu t'en ai donné à coeur joie, my peanut!

Pour une raison qui lui échappait, Sean après lui avoir donné une réponse bien étrange, c'était mis à l'observer d'une façon peu convenable. Gêné, elle baissa les yeux en se demandant dans quel pensés son ami s'était envolé. Elle savait lire entre les lignes car elle n'était pas dupe, de même que l'ex Durmstrang n'était pas substil, mais elle n'aimait pas la tournure que prenait la situation. Elle savait que son ami érpouvait sans doute des sentiments pour elle et Fynlie se senti soudainement bien stupide de lui avoir posé cette question. Rien à dire. Elle avait bel et bien provoqué la réponse, d'une façon inconsciente. Et pourtant, elle n'aimait pas le jeune homme. L'adulte ne l'attirait pas physiquement, même si elle appréciait sa musculature et le contact de ses doigts sur sa peau. Leur relation était strictement amicale et celui lui plaisait. Elle aimait cette sensation de sécurité et cette stabilité et appréciait le fait de ne pas avoir à s'inquêter sur l'amour que son partenaire nourissait à son égard, ni si leur complicité durerait après une séparation car il n'était que des amis. Pourquoi vouloir aller plus loin? Dans sa vie, elle n'avait eu que deux amours, ce qui s'était révélé être une catastrophe. Le premier était un adolescent et elle une dépressive alors du coup, leur séparation était non seulement prévisible mais aussi explicable. Quant au deuxième...c'était un homme de son âge qui avait su dire les bons mots dans les bons moments. Elle s'était laissé piéger par son charme naturel et depuis, elle s'était promis de ne pas faire la même erreur.

C'est alors que tout dégénéra. Elle n'aurait jamais pu prévoir cet évènement, ni sa réaction. Car soudainement, Sean l'enlaça et commença à l'embrasser. Son premier désir fût de le repousser mais au lieu de cela, elle fît durer ce baiser. Ce ne fût que quelques secondes plus tard qu'elle prit connaissance de son erreur. Avec dédain, elle s'éloigna de son ami, le regardant avec dégoût. Elle n'aurait pas dût faire cela. Ce qu'elle devait faire depuis le premier jour, c'était couper toute investigation de sa part. Mais elle ne l'avait pas fait. Résultat ? Ces hormones avaient prit le dessus sur sa lucidité et non l'inverse. Car Sean n'était qu'un ami et de cela, elle en était quasi sûr.

- Tout se passe bien entre nous. Je t'en pris, ne gâche pas notre amitié pour la simple passion, ça serait stupide.

Hj: Hey Hey! Poulet time!!!! Défi complété à 18h07 de chaque bord. Let's start my cheese, allons boire au comptoir|||

"Je t'en pris, ne gâche pas notre amitié pour la simple passion, ça serait stupide." Ces mots résonnaient dans ma tête... Ils faisaient mal... Ça ne faisait que tourner le couteau dans la plaie à peine cicatrisée...

-"D'accord... Maintenant, est-ce que tu pourrais sortir s'il te plaît... ? J'aimerais me reposer pour notre rendez-vous demain... et il faut que je fasse des courses alors... Bonne nuit..." dis-je en lui montrant la porte du doigt.

Edit by Fynlie : Hmm....attention au jeune oreille! Sérieux...va dormir mon Carl-Loup!
(Pour ceux intéressé à voir ce qu'il avait écrit...demandez-lui de vous l'envoyer, je suis sûr qu'il va être ravis de vous le dire...XD!)

» Fynlie Walf
» Photo de Sean Matthews !